« Certaines de ses œuvres (dont La planète des seins, 2011) ont d’ailleurs été retirées d’une maison de la culture de Montréal sous prétexte de ménager la sensibilité du public écolier et des communautés culturelles du quartier. Si cette censure invite à réfléchir à « la politique des institutions culturelles de Montréal face à la nudité dans l’art », elle reste surtout, pour l’artiste, symptomatique d’une « crainte de la nudité, de la souveraineté des femmes sur leurs corps et des gestes d’autonomie des femmes artistes ». Dominique Allard, esse 90 | Féminismes. Mai 2017.
L’article complet: http://esse.ca/fr/helena-martin-franco
« Some of her works (including La planète des seins, 2011) were withdrawn from a Maison de la culture de Montréal because they apparently offended the sensibilities of the school-age public and the area’s cultural communities. If this censorship offers an invitation to reflect on “the policy of Montreal cultural institutions with regard to nudity in art,” it is, in Martin Franco’s view, indicative of a “fear of nudity, of women’s sovereignty over their bodies, and of autonomous gestures by women artists.”
The full article: http://esse.ca/en/helena-martin-franco
« Algunas de sus obras (incluyendo planeta de los senos, 2011) han sido retiradas de una de las casas de la cultura de Montreal con el pretexto tener consideración con la sensibilidad del público escolar y las comunidades culturales del barrio. Si esta censura invita a reflexionar sobre «las políticas de las instituciones culturales de Montreal frente a la desnudez en el arte », para la artista es, por encima de todo, un síntoma de un « miedo a la desnudez, a la soberanía de las mujeres sobre sus cuerpos y a los gestos de autonomía de las mujeres artistas « . Dominique Allard, revista esse arts + opinions 90 | Féminismes. Mayo 2017.